

• DRIEUX-COMBALUZIER NOMINÉ AUX TROPHÉES DE L’ASCENSEUR.
Les Trophées de l’Ascenseur, organisés par la Fédération des
ascenseurs, récompensent chaque année des réalisations d’exception,
dans 4 catégories : développement durable, technologies, accessibilité
et intégration et patrimoine. C’est dans cette dernière catégorie que
concourt Drieux-Combaluzier, spécialiste des ascenseurs parisiens
sur-mesure, qui s’intègrent en parfaite harmonie dans les architec-
tures urbaines du 19
e
siècle telles que les immeubles haussmanniens.
Les trophées seront remis officiellement en fin d’année.
Plus d’informations sur
www.ascenseurs.frréduite, la Fédération des ascenseurs a mis au point, avec le média
en ligne
handicap.fr, un dispositif d’autoévaluation sur Internet. Il est
accessible sur la page :
www.homeaccess.fr/ascenseur-description.xhtml. En quelques clics, ce formulaire permet d’éditer soi-même un
diagnostic avant rénovation.
• SALON DE LA COPROPRIÉTÉ LES 23 ET 24 NOVEMBRE
Le prochain Salon de la copropriété se déroulera à Paris, les 23
et 24 novembre 2016, dans le Parc des Expositions de la Porte de
Versailles. Rendez-vous incontournable des présidents et membres
de conseils syndicaux, syndics et autres bénévoles, il réunit plus de
150 professionnels de la copropriété qui exposeront leurs offres de
produits et de services nécessaires à la gestion, au fonctionnement et
à la valorisation des immeubles. Placé sous le signe de la rénovation
énergétique, l’événement permet de recueillir de nombreuses
informations utiles, conseils et solutions de mise en œuvre en faveur
des économies d’énergie.
Plus d’informations :
www.drieux-combaluzier.comVenez visiter le stand Drieux-Combaluzier à Paris Expo, pavillon 6.
• LES FRANÇAIS AIMENT LEURS ASCENSEURS !
C’est le résultat d’une enquête réalisée en 2015 par l’agence Ipsos à
la demande de la Fédération des ascenseurs : pour 82% des Français,
l’ascenseur est synonyme de confort, et aussi, pour trois Français sur
quatre, d’accessibilité et de rapidité. Les professionnels du secteur
peuvent se réjouir : neuf Français sur dix sont satisfaits de la rénovation
de leurs ascenseurs. Les personnes interrogées estiment aussi que,
à l’avenir, les ascenseurs devront être plus accessibles (52%), plus
économes en énergie (39%), plus sûrs (38%) et plus nombreux (21%).
L’ascenseur reste un lieu à part dans l’esprit des Français. Les sondés
ont été 12% à déclarer y avoir déjà conté fleurette !
• ÉCONOMISER L’ÉNERGIE, LE PROCHAIN DÉFI DES ASCENSEURS
Proposer des ascenseurs moins gourmands en énergie, c’est l’un
des principaux objectifs des fabricants en matière de recherche et
développement. La première piste consiste à permettre la mise en
veille des appareils quand ils ne sont pas utilisés durant un certain
temps, car les ascenseurs classiques consomment en permanence
de l’énergie, même quand ils ne sont pas actifs. Pour diminuer,
d’autre part, la consommation des moteurs en fonctionnement, la
“ régénération ” consiste à tirer parti du poids de la machine et de ses
occupants à la descente pour économiser l’électricité : en freinant,
le moteur réinjecte de l’électricité dans le circuit. Ces innovations
concernent cependant essentiellement les ascenseurs destinés au
secteur tertiaire : immeubles de bureaux, hôpitaux… Ce qui représente
seulement 10% de la construction neuve.
• ACCESSIBILITÉ : ÉVALUER SOI-MÊME SON ASCENSEUR
Pour permettre à tout un chacun, particulier ou professionnel, de
vérifier l’accessibilité d’un ascenseur aux personnes à mobilité
Rue de Rivoli
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Percée sous Napoléon, la rue de Rivoli témoigne de la
grandeur voulue par le futur empereur pour la capitale. Ses
immeubles sont typiques de l’architecture néoclassique
du 19
e
siècle.
Remarquable en son début par ses arcades, bordée par le
Jardin des Tuileries et par le Louvre, la rue de Rivoli est
emblématique de l’architecture néo-classique du début du
20
e
siècle. C’est Napoléon, Premier consul, qui décida, par
un décret signé le 17 Vendémiaire de l’an X (9 octobre 1801),
le percement de cette voie triomphale de 20 mètres de large,
reliant l’est à l’ouest de Paris. Les travaux, qui commencèrent
en 1802, n’avaient pas pour seul but d’ouvrir un axe favorisant
la communication. Ils devaient surtout donner naissance
à une large artère facilitant la riposte de l’État en cas
d’émeutes… La rue prit le nom de Rivoli en hommage à la
plus célèbre victoire de la Première campagne d’Italie. Elle
fut pavée pour le sacre de Napoléon 1
er
en 1804. Mais les
arcades ne furent achevées définitivement qu’en 1855, sous
Napoléon III.
ACTUALITÉ
STYLE DE
PARIS
La rue de Rivoli,
une architecture impériale
LE SAVIEZ-
VOUS ?
UNE RUE DÉVOLUE AU LUXE
Afin de répondre harmonieusement au Louvre qui leur fait
face, les nouveaux bâtiments, dessinés par les architectes
Percier et Fontaine, présentent des façades régulières, à
l’élégance sévère, appuyées sur des arcades. Les immeubles,
construits obligatoirement en pierre suivant des lignes
strictes, comportent tous trois étages sur un entresol, dont
un premier étage agrémenté de balcons en fer forgé, un
deuxième étage sans balcon et un dernier étage moins élevé
avec balustrades. Il en résulte une monumentalité austère et
une rigueur grandiose propices aux promenades d’agrément
des Parisiens. Dès son origine, la voie prestigieuse est
dévolue au luxe : l’installation de tout commerce de bouche
est interdite, de même que toute activité artisanale, l’usage
d’un marteau ou d’un four étant fermement proscrit !
Si, aujourd’hui, les arcades abritent quelques boutiques
destinées aux touristes, la rue de Rivoli reste l’une des
adresses les plus réputées de la capitale, notamment pour
ses hôtels cinq étoiles : Meurice, Saint-James, Brighton…
Elle n’a atteint sa longueur actuelle que sous le préfet
Haussmann, qui a assoupli en son terme les contraintes
architecturales. Étendue sur trois kilomètres, elle demeure
l’une des rues les plus longues de Paris.
Le 13
e
arrondissement a failli se situer dans l’ouest de Paris… Mais
l’histoire en a voulu autrement. Avant 1860, lorsque Paris ne comptait
que douze arrondissements, l’expression populaire “ se marier à
la mairie du 13
e
” signifiait vivre en concubinage, chose mal vue à
cette époque. Or, lorsque le préfet Haussmann décida d’agrandir la
capitale en annexant les communes alentour, il créa huit nouveaux
arrondissements et envisagea le 13
e
dans les beaux quartiers
d’Auteuil, Passy, etc. Les habitants de ces faubourgs prestigieux
refusèrent si haut et fort que leur soit attribuée la mairie du 13
e
que
le préfet imagina le système de numérotation actuel en escargot,
réservant cet arrondissement à des quartiers pauvres, autour de la
porte d’Italie.
L’agence Costa et Dieux-Combaluzier récompensés en 2016
dans la catégorie “ Intégration & Patrimoine ”.